Plumorama

Plumorama, note d’intention

Hello les dragonautes !
 
J’inaugure cette page pour vous présenter notre nouveau projet : le plumorama des auteurs de l’imaginaire. 

Ceux qui côtoient les acteurs du livre le savent : les voix des auteurs sont plus audibles que jamais. Il est possible de se référer à la récente vidéo de Samantha Bailly, à l’ouvrage de Cécile Rabot et Gisèle Sapiro, aux chiffres du gouvernement, à la pétition du SELF, etc. pour s’en rendre compte et s’apercevoir que le mot « précarité » paraît solidement associé à celui d’ « auteur », impactant négativement toute la chaîne du livre.

Si des cas comme celui de Maliki prouvent qu’il est possible pour un lectorat de soutenir un créateur à travers de nouveaux outils, il semble tout de même que la plupart des lecteurs n’est pas réellement sensibilisée à ces questions.

Nous avons donc voulu donner la parole aux auteurs de la niche de l’imaginaire (parce que c’est celle que nous connaissons le mieux) pour observer la diversité des situations et des opinions sur ces enjeux de société.

Nous pensons qu’il est de la responsabilité des prescripteurs que d’attirer l’attention des lecteurs sur ces problématiques.

Mais alors qu’est-ce que c’est ?

Le plumorama des auteurs de l’imaginaire est un gravillon à l’édifice de la compréhension du métier et du statut d’auteur.

Il s’agit d’une série d’interviews d’auteurs, à questions égales (ou presque), portant sur des problématiques d’actualité : droit des auteurs, injustices éventuelles, syndrome de l’imposteur, etc. mais également sur le thème des méthodes d’écriture. Nous ne défendons pas de thèse et essayons de limiter les a priori. Nous ne demandons aux auteurs que leur sincérité.

Nous établirons, lorsque le nombre d’auteurs volontaires se sera tari, un bilan de cette expérience.

Merci à vous tous !

Draconiquement,

Nicolas de What about a dragon ?

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